FLUOR & GLANDE PINÉALE

 Le fluor s’accumule dans la glande pinéale !

Le fluor, ajouté à l’eau du robinet dans de nombreuses villes et comtés, et vendu par WalMart dans son eau pour nourrissons, a tendance à s’accumuler dans les dents en croissance, provoquant leur décoloration, et dans les os, les fragilisant. Ce minéral, lié au cancer, s’accumule aussi dans la glande pinéale, un centre de contrôle hormonal important, où elle fait des ravages considérables. Paul Connett, de Fluoride Action Network discute ici de l’étude de Jennifer Luke qui fait partie de sa thèse de doctorat et qui vient d’être publiée par Caries Research sous le titre : Le dépôt de fluor dans la glande pinéale de la personne âgée.

L’eau fluorée NurseryWater, destinée aux nourrissons, distribuée par WalMart
Le fluor est un poison, et pourtant nous l’ajoutons à notre eau et à nos dentifrices, on dit même parfois que c’est un complément alimentaire, bien qu’il n’ait aucune valeur nutritive. Sa valeur thérapeutique – la prévention des caries dentaires – est officiellement la raison pour laquelle on ajoute ce minéral toxique à l’eau du robinet. Mais ses effets secondaires toxiques sont bien plus importants, comme l’a amplement documenté Paul Connett dans sa Déclaration d’intérêt.

La récente législation de l’Union européenne sur les compléments alimentaires inclue le fluor dans la liste des éléments essentiels à apporter comme supplément. C’est quelque peu ironique quand on pense à l’inquiétude feinte des législateurs européens « pour la toxicité présumée des vitamines et leurs efforts pour limiter les doses de ces nutriments vitaux, afin de « protéger la santé publique. »

Nous utilisons aussi le fluor dans de nombreux objets du quotidien, comme les poêles anti-adhésives, les tissus high-tech imperméables, etc. Quelques voix timides se sont tout de même récemment élevées pour évaluer l’impact sur la santé que cause le fluor. Le Journal of Water Health a publié un article portant sur ces recherches. Pendant ce temps, aux États-Unis, la FDA a décidé de permettre l’ajout du fluor dans l’eau en bouteille, peut-être par égard envers les offres de WalMart.

L’utilisation du fluor pour des raisons de « santé » est l’une des plus grandes folies de notre temps. Serait-ce par hasard que les Allemands et les Russes ont tous deux utilisé le fluor pour rendre les prisonniers stupides et dociles, ou que le gouvernement américain a été poursuivi pour les effets toxiques dans l’environnement de ces sous-produits de déchets nucléaires ?

Les pressions visant à « enrichir » notre eau et notre nourriture en fluor ne sont certainement pas sans raisons cachées qui n’ont rien à voir avec la santé. Quoi qu’il en soit, la campagne pour la fluoration bat toujours son plein et les autorités sanitaires soutiennent ce poison comme si leur salaire mensuel en dépendait.

La thèse de Jennifer Luke sur le fluor et son accumulation dans la glande pinéale, est une peut-être l’étude qui, pour Paul Connett, fera déborder le vase :

Le fluor et la glande pinéale : Etude publiée dans Caries Research

Les moulins de la science tournent très lentement. Finalement, la première moitié du travail qui fut l’objet de la thèse de Jennifer Luke ; l’exposé à Bellingham, Washington (conférence ISFR) en 1998 et une interview filmée que j’ai faite avec elle (voir Fluoride Alert), a été publiée par Caries Research.

De mon point de vue, ce travail est d’une importance fondamentale et pourrait être (ou devrait être) la goutte scientifique qui fait déborder le vase de la fluoration.

Quand Luke a découvert que la glande pinéale – une petite glande dans le centre du cerveau, responsable de la régulation d’un grand nombre de fonctions (elle produit la sérotonine et la mélatonine) – est aussi un tissu qui se calcifie, comme les dents et les os, elle émit l’hypothèse qu’elle concentre aussi le fluor à des niveaux très élevés. La glande n’est pas protégée par la barrière hémato-encéphalique et a un très haut débit de perfusion sanguine, devancé seulement par les reins.

Luke a fait analyser 11 corps au Royaume-Uni. Comme elle l’avait prévu, elle découvrit des niveaux astronomiques de fluor dans les cristaux d’hydroxyapatite de calcium produits par la glande. La moyenne était de 9000 ppm, allant jusqu’à 21,000 dans un cas. Ces niveaux sont équivalent ou plus élevés que ceux des os des personnes atteintes de fluorose osseuse. Ce sont ces découvertes qui viennent d’être publiées.

Ce sont les répercussions de ces découvertes qui n’ont pas encore été publiées. Dans la seconde moitié de son travail, elle traita des animaux (gerbilles de Mongolie) au fluor dans une unité de recherche sur la glande pinéale de l’Université de Surrey, en Angleterre (on ne peut donc pas douter de la qualité de son travail). Elle a constaté que la production de mélatonine (telle que mesurée par la concentration d’un métabolite de mélatonine dans l’urine) était plus faible chez les animaux traités avec de fortes doses de fluor que chez ceux traités avec de faibles doses.

Luke émit l’hypothèse que l’une des quatre enzymes nécessaires à la conversion de l’acide aminé tryptophane (présent dans l’alimentation) en mélatonine est inhibée par le fluor. Ce pourrait être l’une des deux enzymes qui convertissent le tryptophane en sérotonine ou l’une des deux autres qui convertissent la sérotonine en mélatonine.

L’importance ? Énorme. La mélatonine est responsable de la régulation de toutes sortes de fonctions et une grande quantité de travaux se penchent sur son rôle potentiel dans le vieillissement, le cancer et de nombreux autres processus vitaux. Une des fonctions qui intéresse particulièrement Luke, est le déclenchement de la puberté. Les niveaux les plus élevés de mélatonine (produits seulement la nuit) se rencontrent chez les jeunes enfants. On pense que c’est la chute de ces niveaux de mélatonine agissant comme une horloge biologique qui déclenchent le début de la puberté. Dans son étude sur les gerbilles, elle constata que les animaux traités avec de fortes doses de fluor atteignaient la puberté plus tôt que ceux traités avec de faibles doses.

Nous savons par des études récentes – et une couverture médiatique considérable – que les jeunes filles atteignent de plus en plus tôt la puberté aux États-Unis. Luke n’affirme pas que le fluor (ou la fluoration) en est la cause, mais son travail est un signal d’alarme très préoccupant. Le rôle du fluor dans la puberté demande une enquête plus approfondie. Il est intéressant de noter que lors du combat sur la fluoration entre les villes de Newburgh et Kingston (1945-1955), il fut constaté que les filles de Newburgh buvant de l’eau fluorée avaient leurs premières menstruations en moyenne cinq mois avant les filles de Kingston buvant de l’eau non-fluorée, mais on pensa à l’époque que ce n’était pas important (Schlessinger et al, 1956).

Si l’on considère la gravité de la possible interférence du fluor sur la glande pinéale d’un enfant en croissance (et d’ailleurs aussi sur les glandes pinéales des personnes âgées), on perçoit toute l’imprudence de la fluoration. Le principe de précaution, de même que le bon sens, voudrait qu’on ne prenne pas ces risques sur les enfants pour un bénéfice qui, au mieux, s’élève à 0,6 surface dentaire sur 128 surfaces dentaires dans la bouche de l’enfant (Brunelli et Carlos, 1990, tableau 6).

Je possède un exemplaire de la thèse de Luke et je suis prêt à le partager avec ceux qui ont un intérêt scientifique sérieux en ce sujet. Vous pouvez retrouver les autres références citées ici dans ma Déclaration d’intérêt également publiée sur la page de Fluoration Action Network.

Paul Connett

Commentaire : Lire aussi l’article SOTT Focus : 
Nazis, fluor et contrôle mental. Les composés fluorés vous rendent stupides – Pourquoi le gouvernement non seulement les autorise, mais en fait également la promotion ?

source : http://antahkarana.forumzen.com/t2503-le-fluor-s-accumule-dans-la-glande-pineale

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– La glande pinéale est la clé vers l’illumination psychédélique

La glande pinéale, située au milieu du cerveau, a une taille d’environ un quart de pouce, est grise rougeâtre, et pèse environ un dixième de gramme. Différemment de d’autres parties du cerveau qui fonctionnent en paires, la glande pinéale est singulière. Sa position au centre du cerveau et sa présence chez d’autres espèces indiquent que c’est une vieille partie du système cervical évolutionnaire de l’humanité.

La glande pinéale est présente chez tout vertébré inférieur. Pour d’autres espèces, comme les oiseaux, reptiles et grenouilles, la glande pinéale est appelée l’œil pariétal ou « troisième œil » puisque ses fonctions ressemblent de près à celles d’un véritable œil. Chez ces autres espèces, la glande pinéale possède les composantes de l’œil, avec une cornée, un cylindre et un cône. Elle est considérée être un vestige d’un organe sensoriel fonctionnel des vertébrés primitifs.

Directement affectée par la lumière absorbée par les yeux, la pinéale régule le sommeil, les cycles menstruels, la saison des amours, l’hibernation, les trajets migratoires saisonniers et plusieurs autres comportements « instinctifs ».

Les effets tripatifs de la tryptamine

Le chercheur en psychédélique Dr Rick Strassman a expliqué comment la glande pinéale « est plutôt active pour synthétiser des composés relatifs à la sérotonine, un important neurotransmetteur dans le cerveau. Les neurotransmetteurs sont les messagers chimiques permettant la communication entre les cellules nerveuses individuelles. La plupart des drogues psychédéliques typiques, tels que le LSD, la mescaline, la psilocybine et le DMT sont actifs dans les régions du cerveau également affectées par la sérotonine. De plus, la plupart de ces drogues sont similaires dans leur structure chimique à la sérotonine. »

Strassman déclare que la plupart des substances mentionnées ci haut appartiennent à la classe « tryptamine » des drogues, et a proposé que la glande pinéale produise « une ou deux tryptamines endogènes présentes dans le sang humain et le liquide céphalo-rachidien (cérébro-spinal). Ce dernier liquide baigne continuellement le cerveau, et les composées qui y sont trouvés affectent fort probablement les fonctions du cerveau. »

Strassman explique aussi comment « les drogues psychédéliques, les états méditatifs, les expériences de mort imminente et d’autres phénomènes qui peuvent induire des états de mort/renaissance et paradisiaques/infernaux stéréotypés agissent par la glande pinéale.

Lyttle pointe vers la vision universelle mystique de Dieu en tant qu’une éternellement ardente et toute puissante lumière blanche, et postule qu’à un niveau physiologique, cette expérience est produite par des réactions chimiques dans la glande pinéale qui est extrêmement sensible à la lumière. « La lumière, les yeux et le « troisième œil » ou glande pinéale forment une triade qui contrôle directement et régule la conscience normale ou altérée de même que plusieurs fonctions corporelles… ces trois facteurs sont aussi directement reliés à, ou impliqués dans, les états mystiques et l’expérience « psychédélique ». «

Les visions de lumière blanche ne sont pas seulement associées avec le mysticisme et les explorations psychédéliques, mais sont aussi une image prévalente enregistrée par ceux qui ont expérimenté un état près de la mort. Une raison pour ce thème récure dans les expériences de mort imminente peut être trouvée avec le Dr Strassman, qui suggère qu’après la mort, alors que la glande pinéale cesse de fonctionner, certaines des substances chimiques qui y sont présentes peuvent se transformer en drogue « psychédélique »!

D’après le Dr Strassman, la glande pinéale peut non seulement jouer un rôle important dans la mort, mais aussi dans la naissance, possiblement même dans la renaissance…

La glande pinéale devient visible chez le foetus humain au même moment que se fait la différenciation claire du fœtus entre le sexe mâle ou femelle. Le temps pour ces deux évènements est de 49 jours, la période de temps pour que, d’après plusieurs textes Bouddhistes, la force vitale d’un individu décédé s’unisse avec sa prochaine existence corporelle. Si la force vitale entre en effet par la pinéale, la manifestation de cette entrée et sortie serait la libération de tryptamines psychédéliques, qui pourrait plaider en faveur des expériences visionnaires associées aux états de mort imminente, et de naissance imminente.

Traditions Spirituelles

Certains cultes initiatiques, tels que le Tantrisme, le Kundalini et le Gnosticisme, reconnaissent le rôle de la glande pinéale dans l’évolution spirituelle. La force vitale spirituelle/instinctive était vue comme un serpent, à cause de sa structure physique s’étendant des organes génitaux, à travers la colonne vertébrale jusqu’à son unique œil « qui voit tout » dans la glande pinéale.

Ces systèmes spirituels focalisant autour de l’augmentation de cette primordiale énergie serpentine, basée dans les organes génitaux et au centre du procédé procréatif. A travers certaines pratiques Yogiques cette énergie peut être renversée et forcée à monter la colonne vertébrale jusqu’au cerveau, où elle est réputée causer « l’illumination ».

Dans le système du Kundalini, qui possède sept centres énergétiques distincts, la glande pinéale a été variablement identifiée avec le « Chakra Ajnes » et alternativement le « Chakra Sahasrara ». À la fois les textes mithraiques pré-Chrétiens et Gnostiques du deuxième siècle font aussi distinctement référence à la glande pinéale en relation avec sept centres énergétiques distincts et cette énergie serpentine.

De façon non surprenante, une expérience commune de ceux qui ont élevé leur Kundalini est la vision d’une toute consumante flamme blanche. Plus important encore, le dévoué qui élève avec succès le Kundalini expérience un radical changement de conscience, oblitérant le sens de l’individualisme, et entre dans le Nirvana.

Une autre référence potentielle à cette curieuse petite glande peut se trouver à la fin du Livre des Révélations du Nouveau Testament, où il est dit que l’élu connaîtra Dieu intimement, « son nom sera dans leurs front », qui est exactement où la pinéale se situe profondément. En notant la forte connexion de la glande avec la lumière, le reste du passage est intéressant : «  Il n’y aura plus de nuit, ils n’auront pas besoin de la lumière d’une lampe ou de la lumière du soleil, puisque le Seigneur Dieu leur donnera la lumière ».

De la même façon dans la tradition cabalistique, l’homme archétype primordial, Adam Kadmon, rayonne d’une lumière provenant de son front qui était riche en dessins complexes et en symboles linguistiques. Une imagerie similaire est présente dans la tradition Persienne du fluide sacré ayant l’apparence de lumière, la « vivifiante et spermatique » xvarenah. « Ahura Mazda est proéminament le possesseur de xvarenah, mais cette « flamme » jaillit aussi du front de Mithra et comme une lumière solaire émane du front des souverains. »

Cette lumière-esprit en provenance du front est aussi identique avec l’Oeil de Shiva, lequel lorsque ouvert dans les individus brûle le concept de la conscience limitée par l’ego, et lorsque ouvert collectivement a le pouvoir de détruire les ramifications et les chaînes du Vieil Ordre Mondial.

Peut-être qui si suffisamment de modernes psychonautes atteignent l’expérience pinéale nous pourrons pousser ce nouveau cadre sur le reste de l’humanité attachée par l’ego. Ici au tournant du millénaire, dans l’apocalyptique année 1999, jamais le potentiel pour l’état d’esprit qui a été le but des sages yogiques, et des voyageurs psychédéliques du genre, n’a été si possiblement prêt à être atteint par l’humanité en son tout.

À travers la philosophie nous pouvons le comprendre, à travers la science nous pouvons l’identifier, à travers les substance psychédéliques nous pouvons en faire l’expérience. Alors demandez-vous « Êtes-vous expérimentés? – Parce que je le suis! » (« Are you experienced? – ‘Cause I am! »)

Pineal Power
Chris Bennett, Cannabis Culture, Vancouver, novembre 1999
 
source : http://antahkarana.forumzen.com/t920-kaneh-bosmcannabis-et-le-pouvoir-pineal

2 réflexions au sujet de « FLUOR & GLANDE PINÉALE »

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