02/12/2015 – L’ÉNERGIE DU PLASMA EST UN DES ÉTATS FONDAMENTAUX DE L’ÉNERGIE.
J’aimerais vous décrire les changements de la Terre que vous voyez se produire à présent et vous aider à comprendre l’histoire qui nous a conduits à ce moment.
La Terre traverse actuellement une phase de Transition. C’est le terme utilisé quand des améliorations se produisent sur une planète, qui lui permettent d’utiliser des technologies non accessibles dans les dimensions plus denses. La plus importante d’entre elles est l’utilisation de l’énergie du plasma au point zéro. L’énergie du plasma est un des états fondamentaux de l’énergie. Les autres sont l’état solide, l’état liquide et l’état gazeux. L’énergie du plasma imprègne tout sur Terre y compris nos corps, notre nourriture, notre air et notre eau. C’est une source d’énergie, une force, c’est de l’énergie ionique.
Les plans du générateur à énergie libre de Keshe SSI sont librement disponibles
À partir du lundi 26 octobre 2015 , la Fondation Keshe est ouverte au publicen direct, avec des enseignements sur la compréhension et l’application de la technologie du système Magrav.
À partir de 10:00 CET lundi 26 octobre 2015, tous les matins de la semaine, et à 14:00 CET tous les après-midi à partir du vendredi 30 octobre 2015.
Trop bruyantes, moches, tueuses d’oiseaux et de chauves-souris… les éoliennes n’ont pas tellement la cote ! D’où l’idée des ingénieurs espagnols David Suriol, David Yañez et Raul Martin de créer des éoliennes sans hélices. Un plan dans l’air du temps ou une idée fumeuse ?
Pour lutter contre le changement climatique, la France a voté la loi Grenelle I en 2009. Elle fixe l’objectif d’atteindre 23% d’énergies renouvelables dans la consommation finale pour 2020, soit 19000 mégawatts de puissance éolienne terrestre et 6000 mégawatt pour l’off-shore. Mais force est de constater que cette ressource naturelle n’est pas appréciée de tous. On reproche aux parcs éoliens d’être trop bruyants, sources de pollution visuelle et à l’origine d’accidents de volatiles. En ce sens, ces nouveaux mâts pourraient changer la donne !
Les éoliennes sans pales utilisent un phénomène physique redouté par les architectes de ponts
Comme les éoliennes classiques, celles de la start-up Vortex Bladeless utilisent l’énergie cinétique du vent pour créer une mécanique qui crée elle-même de l’électricité. Mais ce n’est pas le même processus qui est utilisé : alors que les éoliennes traditionnelles utilisent les courants laminaires (réguliers) pour faire pivoter les pales, les mâts de Vortex utilisentl’effet aérodynamique des tourbillons d’air. Ceux-ci se forment lorsque le vent rencontre un obstacle, entraînant des vibrations qui, ici, ne détruisent pas un pont, mais actionnent une turbine mécanique… L’électricité peut ainsi être produite !
Les fibres de verre et de carbone, matériaux utilisés, sont légers et résistants. Le coût de production et d’entretien des machines est alors bien plus faible que pour les éoliennes traditionnelles. L’empreinte carbone est elle-aussi diminuée de 40%.
Les problèmes de nuisance sonores sont également résolus : le bruit produit par chaque engin ne dépasse pas 20 Hertz, un son imperceptible pour l’homme. Enfin, les risques pour la faune sont presque réduits à zéro grâce à l’absence des pales tournantes, et ces éoliennes sont aussi bien utilisables sur terre qu’en mer.
Seuls deux prototypes de 4 et 6 mètres de hauteur ont été testés
La compagnie espagnole, délocalisée aux États-Unis par manque de moyens, souhaite créer trois types d’éoliennes :
le Vortex Atlantis, une turbine de 3 mètres de hauteur et d’une puissance de 100 watts, qui pourrait être utilisée dans les pays en développement dès la fin de l’année 2015 ;
le Vortex Mini : 12,5 mètres de haut pour une puissance de 4 kilowatts qui sortirait d’ici un an pour un usage domestique ;
le Vortex Gran, une éolienne de 170 mètres de haut permettant d’atteindre 1 mégawatt de puissance, mais prévue pour 2018 et à destination de plus gros clients (états, entreprises…).
Seule l’éolienne Vortex Atlantis a été testée. « Les résultats sont encourageants et les incertitudes techniques sont résolues progressivement. Mais nous devons rester très prudents car le défi à relever est immense : Vortex est une nouvelle technologie, pas l’évolution de quelque chose déjà existant », explique l’un des inventeurs David Suriol. L’autre hic ? Les mâts produisent 15 à 30% d’énergie en moins que les systèmes actuels. Ce manque à gagner pourrait cependant être compensé par leur petite taille qui permet d’en placer deux fois plus dans un parc éolien traditionnel.
À l’heure des préoccupations mondiales sur le changement climatique, ces nouvellestechnologies sont plus qu’à suivre. L’éolien est une source propre d’électricité qui, selon un rapport commandé par l’Ademe en avril 2015, participerait à 63% à un scénario dans lequel la France serait alimentée à 100% en électricité renouvelable en 2050… Ces longs mâts pourraient-ils obtenir l’unanimité ?
NEWERA : Métanoïa pour une Nouvelle Ère 